Le livre : Black bird : infiltré auprès d’un tueur en série de James Keene avec la collaboration d’Hillel Levin ; traduit de l’anglais (Etats-Unis) par Fabrice Pointeau. Paru le 13 octobre 2022 chez Sonatine éditions. 21€. (283 p.) ; 22 x 14 cm
4e de couv :
Infiltré auprès d’un tueur en série : quand la réalité dépasse toutes les fictions !
James Keene avait tout pour réussir. Fils d’une famille influente de la banlieue de Chicago, star de l’équipe de football, fêtard invétéré aux revenus confortables, sa trajectoire semble auréolée de succès. Mais en 1996, ce joli mensonge s’écroule : James est jugé pour trafic de drogue et condamné à dix ans de prison. Le FBI lui propose alors un deal complètement fou : sa peine sera annulée s’il aide les fédéraux à piéger un serial killer, Larry Hall. Soupçonné d’une vingtaine d’assassinats, le tueur a été inculpé pour un seul d’entre eux lors d’un procès qui risque fort d’être révisé en appel. Et son intelligence est redoutable. La mission de James ? Amener Larry Hall à se confesser pour le faire tomber, définitivement.
Keene hésite, puis accepte de relever le défi. Quelques jours plus tard, il est transféré dans l’unité psychiatrique de la prison de haute sécurité dévolue aux criminels les plus dangereux, où Hall est détenu. Seuls le directeur et le psychiatre en chef sont au courant de sa mission. Là, au milieu des psychopathes, il va devoir gagner la confiance du plus inquiétant d’entre eux pour lui faire avouer où il a caché le corps de ses victimes.
Les auteurs : James Keene est né en 1963, il est originaire de l’Illinois. Il vit entre Chicago et Los Angeles. Hillel Levin est journaliste et écrivain. Il vit à Chicago.
Extrait :
« Dans la vie, il arrive que l’on prenne de mauvais tournants. C’est ce que j’ai fait. Mais on m’a accordé une seconde chance .
Non seulement de sauver ma peau, mais aussi de m’acquitter envers la société de mes mauvais choix. »« Cette pulsion de meurtre entraine des actes révélateurs obsessionnels et compulsifs. Larry Hall avait besoin de retourner sur le lieu de ses enlèvements, de collectionner ou fabriquer des objets associés à cela. »
» C’était une journée froide et ensoleillée, et Keene se concentrait sur un petit moineau qui s’était posé sur une branche devant la fenêtre. « C’était au beau milieu de l’hiver, et ce petit oiseau était toujours là. Je l’ai fixé du regard pendant tout le test en me disant : « Bientôt je serai dehors avec toi. »
« Le psychologue Joel Norris écrit : « Les tueurs en série qui ne se font pas attraper finissent souvent par se suicider. C’est le dernier acte d’une vie de désespoir et d’impuissance absolus… Mais la plupart des tueurs en série trouvent le moyen de se faire arrêter avant d’opter pour le suicide. Ils sont alors trop déprimés et ne prennent plus soin de dissimuler leurs crimes. »
Le post-it de Ge
Black bird : infiltré auprès d’un tueur en série de James Keene et Hillel Levin
Voici un livre que j’ai reçu en service de presse et pour cela je remercie Nadia Ahmane qui me l’a proposé.
Le pitch de celui m’intéressait, mais il me disait quelque chose. Alors ma curiosité à fait le reste et je me suis plongé dans cette incroyable histoire.
Mais alors que nous raconte ce « Black bird«
Milieu des années 90. Prison de Springfield. Quartier de haute sécurité.
James Keene, fils d’une famille influente de Chicago, est arrêté pour trafic de drogue. Condamné à dix ans, le FBI lui propose alors un étonnant marché. Il doit obtenir les aveux d’un tueur en série, incarcéré dans l’unité psychiatrique de Springfield. Larry Hall n’a été inculpé que d’un meurtre. On le suspecte d’en avoir commis une vingtaine. Keene doit gagner sa confiance…
Il accepte d’aider le FBI à piéger Larry Hall, un serial killer, en échange de l’annulation de sa peine. James est alors transféré dans l’unité où sont détenus les plus dangereux prisonniers et doit amener Larry à confesser ses crimes. Keene va devoir la jouer fine pour faire avouer à Hall où il a caché les corps de ses victimes.
Plus j’avançais dans ce récit plus j’avais une impression de déjà vu. Et très vite un déclic c’est fait. J’avais déjà lu ce livre, impossible autrement, tout remonter, mes sentiments, mes émotions. Alors moi qui n’est pas de mémoire, j’ai arrêté ma lecture pour en avoir le cœur net. Et là en cherchant un peu j’ai vu la couverture d’une autre livre apparaître et la lumière c’est fait en moi. Ce crane rasé en noir et blanc pleine couv avec au dessous noté « avec le diable » a eu l’effet d’un flash back dans ma tête.
J’ai eu cette sensation diffuse que ma lecture avait été laborieuse à l’époque, que j’ai lu les cinquante premières pages et que je n’était toujours pas convaincue. On m’a dit « continu » encore cinquante page set tu seras dans le vif du sujet. Et c’est vrai, j’ai fini par trouvé le rythme, il faut dire que celui-ci est partagé en 3 parties : la vie de James Keene, ce fils de bonne famille, disant plutôt de famille aisée mais pas parfaitement bien sous tout rapport, ensuite l’enquête puis l’arrestation et le procès de Larry Hall et enfin ce qui nous intéresse le plus la confrontation entre les deux hommes. A l’époque je croyais lire un thriller, cette fois je savais où je mettais les pied. Et ça a fait tout la différence.
J’ai apprécié ce True Crime, effectivement je n’attendais plus un style littéraire mais bien journalistique. J’ai compris que les deux premières partie mettais en place chacun des protagonistes et que celles-ci étaient utiles à la suite du récit. Un scénario incroyable qui va nous immerger dans l’unité psychiatrique de la prison de haute sécurité de Springfield. On va être à notre tour infiltré. Et si James Keene est le narrateur de cette intrigue on subit avec lui les conditions carcérales américaines. Keene a quelque chose d’un sociopathe, il est assez imbu de lui même, si c’est un type charismatique qui n’a pas peur des bandits type mafieux. Oui mais là c’est une autres paire de manche, Larry Hall c’est pas la pègre, c’est un autre cas et quel cas !
Bon bref si comme moi vous aimé les True Crime story, celui-ci devrait répondre à vos attente tellement cette histoire vraie est surprenante même si venant des Etats-Unis plus rien ne devrait me surprendre !!!
[…] Black bird de James Keene et Hillel Levin (USA) […]
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Bonjour, intéressant, je découvre, je ne sais pas pourquoi, je ne reçois plus votre newsletter, mais je vous ai retrouvé, c’est le principal !
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Oh mince, peut-être essaie de te réabonné…Les subtilités WP m’échappe parfois
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Ils ont vraiment fait ça ??
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Oui vraiment !
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Merci dame cheffe 🤩
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avec plaisir , toujours 🤩🤩📚
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Non, plus rien ne devrait nous surprendre, venant de chez eux ! 🙂 Je l’ai, il faudra que je le lise.
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Oui ma Belette YAPUKA !
Comme tu dis si bien ! hihi;-P
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mdr
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hihi ;-p
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Je lis peu de True Crime car je n’y pense pas mais ce livre pourrait clairement me plaire !
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Moi j’en ai lu quelques-uns cette année et j’avoue, ça m’a réellement bien plus ! ça chance un peu des polars ou thrillers plus classique. 😉
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En effet 🙂
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J’en lirai d’autres avec plaisir aussi 🙂
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